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Mahor CHICHE - Page 64

  • GENOCIDE TUTSIS

    RWANDA, la réconciliation nationale en marche :

     

    Ce vendredi 7 avril 2006 j’ai assisté à la Commémoration du 12ème anniversaire du génocide des Tutsis à Paris. Cette initiative s’est déroulée en présence de rescapés du génocide, de l’ambassadeur du Rwanda, et de la Présidente de l’association d’IBUKA France (cela signifie Mémoire).

    Au siège de Médecins du Monde beaucoup d’émotions lors des discours, chants et recueillements, en mémoire des victimes. On se souvient de l’indifférence des autres Etats, on se mobilise pour que la négation du  génocide n’ai pas lieue.

    12 après le drame du génocide, il n’y a rien de plus important que : donner la parole aux rescapés, découvrir comment et pourquoi nos Démocraties ont fermées les yeux, pourchasser et juger les criminels de l’époque où qu’ils soient aujourd’hui, et biensûr empêcher de nouveaux génocides. 

    Seul le souvenir et la justice permettront la réconciliation nationale. Un nouveau Rwanda libre et démocratique est possible, il compte sur la mobilisation de nous Tous. 

  • ETATS GENERAUX POUR L'EGALITE

    Suite aux émeutes urbaines et aux nouveaux débats de la socièté française sur les discriminations, les ghettos le racisme... bref, le vivre ensemble ; SOS Racisme organise à partir du 18 mars 2006 des Etats Genraux pour l'Egalité.

    SOS Racisme XIXème déclinera cette initiative sur notre arrondissement afin de débattre, et confronter les idées et diagnostics quant à l'évolution de notre Ville.

    D'ors et déjà deux thèmes sont amorcés :

    - La lutte contre les discriminations à l'emploi

    - Ghettos et communautarisme

    SOS Racisme receuille dès maintenant vos contributions : sosracisme75019@yahoo.fr

     

  • RETRAIT DU CPE

    DÉCLARATION DES ORGANISATIONS SYNDICALES D’ÉTUDIANTS, DE LYCÉENS ET DE SALARIÉS

    *UNEF, CÉ, UNL, FIDL, CFDT, CFE CGC, CFTC, CGT, FO, FSU, Solidaires, UNSA*

    Les formidables mobilisations unitaires de ces deux derniers mois, le succès encore plus important des arrêts de travail, grèves et manifestations du 4 avril, avec plus de 3 millions de manifestants, le développement du mouvement dans les universités et les lycées, confirment la conscience profonde de la gravité de la situation par les salariés, les étudiants, les lycéens.

     

    Rien et notamment pas les manœuvres gouvernementales n’entame la détermination croissante à obtenir le retrait du CPE, revendication commune depuis le début de la crise.

    Les organisations syndicales d’étudiants, de lycéens et de salariés rappellent qu’elles avaient, ensemble, demandé au Président de la République de ne pas promulguer la loi et d’éviter tout passage en force.

    Elles dénoncent l’imbroglio créé par les décisions des pouvoirs publics et prennent acte des initiatives parlementaires. Elles exigent des réponses claires et rapides.

    L’objectif des organisations syndicales n’est pas de négocier des aménagements au CPE mais d’obtenir son abrogation.

     

    Elles rappellent que, pour permettre l’ouverture de discussions ou de négociations sur l’emploi et la formation des jeunes, la précarité et le chômage, l’hypothèque du CPE doit être, très rapidement, levée. Ce qui passe par le vote, avant les vacances parlementaires (le 17 avril) d’une loi abrogeant le CPE.

    Dès aujourd’hui et avant le 10 avril, elles appellent leurs organisations locales à rencontrer dans l’unité les députés et les sénateurs pour exiger le retrait du CPE et à rendre publiques les réponses.

    L’intersyndicale affirme son soutien aux mobilisations étudiantes et lycéennes et, notamment, à la journée d’action du 11 avril.

    Afin de maintenir et développer partout la pression, les organisations appellent leurs structures locales à donner la plus grande visibilité à leur exigence.

     

    Pour les 12 organisations, la mobilisation n’est ni suspendue ni abrogée. Elles conviennent de rester en contact permanent et de se retrouver en intersyndicale le 10 avril 2006. Elles se déclarent prêtes, faute d’une décision rapide de retrait du CPE, à décider d’un nouveau temps fort de mobilisations, sans exclure aucun moyen d’action.

    Paris, le 5 avril 2006

     

     

     

  • RETRAIT DU CPE

    Qui sème la précarité, récolte la colère

    Je suis atterré par l’autisme total dont  fait preuve le Premier Ministre.
    Le temps n’est pas à l’explication et à la pédagogie, comme si les lycéens et les étudiants mobilisés contre le CPE étaient débiles, mais à répondre à leurs revendications.

    Monsieur de Villepin s’y refuse. Il propose des aménagements qui vident le CPE de sa substance, alors pourquoi ne pas retirer et entamer de réelles discussions sur le chômage, et plus particulièrement sur le chômage des jeunes.

    Le CPE ne s’appliquera pas, les mobilisations quotidiennes démontrent l’hostilité massive des jeunes, des salariés et des précaires.

    Aucun dialogue ne pourra être envisagé tant que le CPE ne sera pas purement et simplement retiré.

    A force de prendre de haut les jeunes, le gouvernement ne va qu’accentuer la colère et risque d’être responsable des atteintes à l’ordre public commises par les casseurs.

    Tous ensemble pour le RETRAIT Du CPE